La presse en parle
« L’excellence atteinte par l’orchestre rejoint ici celle des chœurs, établie de longue date. Leurs rayonnements innervent l’ensemble du parcours, suscitant invariablement un émoi que bien des grandes formations internationales leur envieraient légitimement. »Suites Peer Gynt de Grieg & Stabat Mater de Gouvy, décembre 2021, Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin
« Dans Va’ Pensiero, c’est peut-être le moment où s’exprime le mieux la discipline imposée par le chef Dubor, qui fait travailler son chœur intensément, le surveillant avec rigueur et passion. Le résultat est d’un rare raffinement et, dans la coda finale, nous semblons entrevoir la signature la plus personnelle de Dubor : le geste physique et le murmure de la voix ne font qu’un. » Les chœurs de Nabucco, septembre 2021, Fabrizio Migliorati
« Le Finale Allegro con brio occasionne invariablement l’appréhension. […] force est de reconnaître l’extraordinaire endurance dont font preuve les instrumentistes, les 4 cors en têtes (NB : le chef les conserve tous ici, doublant ainsi l’effectif requis). Galvanisés par le tempérament volcanique de Jean-Philippe Dubor, ils délivrent une apothéose éruptive, dans un surrégime entraînant tout sur son passage, jusqu’aux frontières de l’hallucination phonique, telle qu’on voudrait souvent en entendre ! Incontestablement, voici un vivifiant prélude au 250ème anniversaire du Maître de Bonn. » La 7ème Symphonie de Beethoven, novembre 2019, Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin
« La Fugue du Kyrie Eleison […] permet d’évaluer l’excellence technique des différents pupitres du chœur ainsi que leurs étonnantes capacités expressives. Ce, sans omettre de relever leurs appréciables ressources en contrôle du volume, vertus confirmées dans un Dies irae dépassant en mordant les rares gravures discographiques existantes. » Requiem de Franz von Suppè, janvier 2019, Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin
« Jean-Philippe Dubor possède le don de retrouver des perles rares […] mais aussi d’interpréter et de retravailler la matière vivante des œuvres fondamentales afin de dévoiler une lumière estompée par le temps […]. C’est là que réside, peut-être, le secret de sa direction, ce fascinant régime qui puise dans le sensible, la rigueur et le sublime. » Chœurs de Verdi, mai 2019, Fabrizio Migliorati
« Œuvre faite de tensions, de conflits et de contrastes violents, le spectateur s’interroge pour savoir si c’est un hymne à Dieu ou au Lyrisme. Nul doute que dans les deux cas il aura ce soir été servi admirablement. » Stabat Mater de Rossini, 2016, Perrine Bergon
« Emotion, sensualité, spiritualité et dimension mystique étaient omniprésentes ce soir grâce aux talents des instrumentistes et chanteurs des Siècles Romantiques, dirigés par le chef des plus charismatiques Jean-Philippe Dubor, devant un public largement conquis » La Marseillaise, 2015, Festival d’Uzès
« Une puissante tension entre humain et divin créée par la musique et par la voix » Fabrizio Migliorati
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